Lorsque la victime nécessite une aide pour la réalisation des actes de la vie courante
Après un accident de la route ou une agression, l’avocat spécialisé interroge son client sur sa vie quotidienne et sur les difficultés qu’il rencontre afin d’évaluer si ce dernier a besoin de l’aide d’une tierce personne pour la réalisation des actes de la vie courante. Cette aide n’apparaît pas toujours aux yeux de la victime, bien souvent aidée par sa famille. Or, même en cas d’aide familiale, ce poste de préjudice, temporaire ou définitif, est indemnisable.
Lors de son retour à domicile, la gravité des blessures de la victime peut nécessiter une aide active et/ou l’aménagement temporaire ou définitif de son domicile, de son véhicule…
Le Cabinet Leszczynski & Gonnet conseille à ses clients de recourir à un ergothérapeute afin que ce dernier dresse un bilan global des besoins de la victime. Son rôle est de lui permettre de retrouver une certaine autonomie par des aménagements et d’évaluer les besoins en tierce personne.
Ce bilan aidera le médecin recours lors de l’expertise médicale amiable ou judiciaire, à faire évaluer le nombre d’heures nécessaires de tierce personne au bénéfice de la victime.
Le Cabinet Lesczczynski & Gonnet veillera à ce que la rémunération de l’heure de la tierce personne proposée par le régleur (compagnie d’assurance ou Fonds de Solidarité) corresponde à la réalité du marché, même si l’aide a pu être bénévole ou familiale.
Maître Anna Leszczynski & Maître Jade Gonnet